Connaissance des besoins clients, messages hyper-personnalisés, choix des bons canaux de communication : quelles pratiques adoptent les professionnels du marketing pour répondre aux attentes des consommateurs d’aujourd’hui ? Le point dans cette étude menée auprès de 250 marketeurs français.
Les comportements d’achats évoluent continuellement et challengent les entreprises qui se doivent d’innover pour anticiper et s’adapter aux besoins des consommateurs, de plus en plus exigeants.
Dans ce contexte, Dolist et l’ADETEM viennent de dresser le panorama des pratiques data, e-mail ou omnicanal de 250 professionnels français.
Les 7 pratiques marketing de 2017
1/ La vérification du rendu visuel des e-mails dans les différents outils de messagerie (PC, mobiles et tablettes) est la pratique la mieux ancrée en 2017.
2/ La connaissance client est un enjeu fort pour les marketeurs en 2017, ils sont bien au fait des techniques qui existent pour y parvenir mais doivent encore passer à l’acte.
3/ Les professionnels du marketing ont bien compris l’enjeu de la pertinence des contenus : se différencier et doser sa communication pour être plus attractif auprès des consommateurs.
4/ Le marketing mobile est incontournable. E-mail responsive, synergies entre e-mail et mobile, supports mobiles attrayants, c’est la priorité de 2017.
5/ La collecte de contacts : les marketeurs capitalisent bien sur les sources « naturelles » de collecte. Attention toutefois à l’échange et à l’achat de fichiers, une pratique encore utilisée et très fortement déconseillé.
6/ Les marketeurs comprennent l’importance de la délivrabilité mais ils sont de moins en moins à mettre en place des indicateurs pour s’en assurer.
7/ Les professionnels du marketing doivent intégrer rapidement la gestion et la sécurité des données dans leurs préoccupations et leurs objectifs, et anticiper le règlement européen en matière de protection des données qui sera mis en vigueur en mai 2018.
Dolist a également déployé cette étude sur le marché espagnol en partenariat avec l’IFAES et Adigital. La situation décrite par les 180 répondants de cette première édition est comparable à celle constatée en France.