Pour cette étude, Google s’appuie sur la définition d’une publicité vue fournie par le Media Rating Council et l’IAB, à savoir : une impression publicitaire est considérée comme vue lorsque 50% des pixels d’une annonce sont visibles pendant une seconde sur l’écran de l’utilisateur.
Les données utilisées dans cette étude sont basées sur les annonces diffusées via le réseau Google et affichées dans les navigateurs tant sur mobile que sur ordinateur.
Il ressort de cette étude que la majorité (56,1%) des impressions des annonces ne sont pas vues par les utilisateurs.
Pourtant,selon Doubleclick « la visibilité moyenne d’un éditeur est de 50,2%. Cela signifie qu’un petit nombre d’éditeurs est à l’origine de la majorité des impressions non visibles et tirent vers le bas la visibilité moyenne des impressions de près de 6% ».
Ces résultats sont d’ailleurs assez proches de ceux publiés dernièrement par Kantar Media
Les autres chiffres à retenir de cette étude :
- La position la plus visible se situe à droite au dessus de la ligne de flottaison
- Les publicités display présentant la meilleure visibilité sont celles de format vertical du fait qu’elles restent plus longtemps affichées à l’écran quand l’utilisateur fait défiler la page
- Les formats les plus visibles actuellement sont le 468×60 (48.2%), le 300×600 (46.3%), le 970×90 (45.2%), le 728×90 (45%) et le 300×250 (41%)
- La position d’une publicité sur une page n’est pas forcément le meilleur indicateur de visibilité : toutes les impressions délivrées au dessus de la ligne de flottaison ne sont pas toutes visibles alors que beaucoup situées en dessous le sont