Créer sa boutique en ligne est souvent bien plus qu’un projet business, c’est un véritable choix de vie.
C’est ce que révèle une nouvelle étude menée par Wizishop qui lève le voile sur les aspiration de cette nouvelle génération d’e-commerçants…
E-commerce : un besoin d’indépendance avant tout
Premier enseignement de l’étude : près d’un répondant sur deux (49,8 %) a choisi de se lancer dans l’e-commerce pour gagner en indépendance.
Viennent ensuite la passion pour un univers ou un produit (32,1 %) et le besoin d’un revenu complémentaire (20,8 %).
Loin d’un simple effet de mode, l’e-commerce s’impose comme également un moyen concret de se réinventer professionnellement, pour 20,8 % des répondants, ou de saisir une opportunité de marché identifiée (17,4 %).
Une activité en plein essor, mais secondaire pour beaucoup
Si 41,6 % des boutiques créées via WiziShop sont aujourd’hui une activité principale, une majorité (53,6 %) reste en activité secondaire, preuve que l’entrepreneuriat en ligne séduit sans forcément entraîner un changement de vie immédiat.
Pour les autres répondants, la boutique en ligne est soit en projet (3,1%) soit en pause (1,7%).
Les piliers du nouveau e-commerce
Lorsqu’on leur demande quelles sont les valeurs les plus importantes de leur activité, les e-commerçants plébiscitent :
- L’accessibilité prix/qualité (64,8 %)
- La créativité et l’originalité (51,8 %)
- Le Made in France (28,2 %)
- L’entrepreneuriat local (23,9 %)
Une exigence forte, qui illustre un double engagement : proposer des produits abordables sans renoncer à l’exigence.
Dans un contexte d’inflation, c’est aussi une manière de répondre à des consommateurs de plus en plus attentifs au juste prix.
Le Made in France en progression
S’il figure parmi les valeurs importantes, le Made in France est aussi un positionnement stratégique pour de nombreuses boutiques.
23,2 % des e-commerçants déclarent proposer exclusivement des produits français et 38,7 % en proposent au moins en partie.
À eux seuls, ces deux groupes représentent plus de 60 % des boutiques interrogées.
Pour 13 % des répondants, proposer des produits français fait partie des objectifs à venir, tandis que 25 % reconnaissent que ce n’est pas une priorité actuelle.
Lancer sa boutique : entre excitation et syndrome de l’imposteur
Le manque de connaissances techniques (47,2 %) et la peur de ne pas être rentable (38,7 %) figurent parmi les principaux freins rencontrés.
Pourtant, 78,6 % des répondants évaluent leur expérience comme positive, et près de 56 % relanceraient leur boutique en ligne sans hésiter.
Les principaux défis restent : la visibilité (75 %), la génération de ventes régulières (69,3 %) et l’optimisation du référencement (53,6 %).
Objectifs 2025 : croissance, visibilité et automatisation
86,7 % des e-commerçants souhaitent augmenter leur chiffre d’affaires dans les 12 prochains mois.
D’autres misent sur l’élargissement de leur gamme (29,5 %), l’automatisation (23 %), voire l’ouverture à l’international (15,1 %).
Enfin, 7,6% des sondés entendent recruter/déléguer certaines tâches et 6,1% veulent développer une boutique physique en complément.
« Cette étude confirme une chose : les nouveaux e-commerçants ne se contentent plus uniquement de vendre, ils veulent bâtir un projet porteur de sens et d’impact. Chez WiziShop, nous encapsulons IA, SEO avancé et automatisation dans une plateforme prête à scaler, afin que chaque marchand transforme rapidement sa vision en leviers de croissance mesurable. »
René Cotton, co-fondateur de WiziShop
Méthodologie
Etude menée en interne auprès des e-commerçants WiziShop. 1.172 boutiques ont répondu à cette enquête menée via Intercom, plateforme de service client, durant la période du 10 au 22 avril 2025.
